Recordando Montesquieu
Num momento em que discute o futuro da Europa, importa recordar as sábias palavras de um grande pensador:
"Si je savais quelque chose qui me sût utile et qui sût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui serait utile à ma famille et qui ne le sût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et qui sût préjudiciable à l’Europe et au genre humain, je la regarderais comme un crime."
Montesquieu, "Mes pensées (1720-1755)", Oeuvres Complètes, Paris, Le Seuil, 1964.
"Si je savais quelque chose qui me sût utile et qui sût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui serait utile à ma famille et qui ne le sût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et qui sût préjudiciable à l’Europe et au genre humain, je la regarderais comme un crime."
Montesquieu, "Mes pensées (1720-1755)", Oeuvres Complètes, Paris, Le Seuil, 1964.
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